La semaine dernière, en partenariat avec Edenred France, j’ai fait un sondage sur Linkedin pour connaître votre perception concernant le niveau d’intérêt que votre entreprise porte à votre bien-être au travail. Et je parle à dessein de perception car, je le vois quotidiennement, il existe un fort décalage entre ce que font véritablement les entreprises concernant le bien-être de ses salariés, et la perception qu’ils en ont : problème de diffusion de l’information, tout simplement.
En effet, les résultats du sondage sont assez négatifs, mais il ne faut pas les analyser comme étant une réalité absolue de ce qui se passe au sein des entreprises, mais bien d’une réalité perçue pointant du doigt qu’une action visant à améliorer le bien-être des salariés, si ces derniers n’en sont pas informés… à quoi bon ? Sur les 3 835 personnes ayant répondu au sondage, seules 34% considèrent que les entreprises ont une action satisfaisante ou très satisfaisante concernant leur bien-être au travail. C’est peu… très peu… trop peu.
En termes de bien-être au travail, il y a, comme en beaucoup de choses, le savoir-faire et le faire savoir. Or, en ces temps de grande démission et de quiet quitting, s’il existe bien un élément absolument clé pour réduire l’impact qu’ont ces deux phénomènes sur l’entreprise, c’est le bien-être au travail. Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que le bien-être au travail fasse partie des préoccupations d’une écrasante majorité de DRH et de dirigeant.e.s… mais alors quoi ? Comment se fait-il que 65% des salariés aient le sentiment que ce n’est pas le cas ? Et surtout, comment corriger cela ? C’est tout l’objet de cet article.
1️⃣ Mettre le bien-être au cœur de la stratégie RH
2️⃣ Écouter les salariés
3️⃣ Sensibiliser les manager
4️⃣ Ouvrir un dialogue permanent
5️⃣ Se remettre en cause de façon permanente