Peut-on faire rimer IA et bénéfices collectifs ? Les récentes actualités de la société OpenAI ont jeté une lumière crue sur la bataille idéologique à l’oeuvre derrière les développements de l’intelligence artificielle. Nos experts débattront des impacts positifs à espérer de l’IA et des conditions dans lesquelles elle peut les déployer.
Retrouvez l’intégralité de la table ronde « L’IA4GOOD : a-t-on raison d’y croire ? » avec :
– Sophie YANNICOPOULOS : Directrice Générale d’ADOBE FRANCE
– Rajesh KRISHNAMURTHY : Chief Executive Officer d’EXPLEO Group
– Stéphane BARDE : Directeur Data & Digital et membre fondateur de Positive AI chez MALAKOFF HUMANIS
– Salime NASSUR : Founder et CEO de MAARS et de REPUBLIK REVOLUTION
– Yves NICOLAS : Deputy CTO de SOPRA STERIA, responsable du programme IA
– Francis WOLINSKI : Directeur du MSc Artificial Intelligence for Business Transformation, Professeur Associé à SKEMA Business School
Au coeur de la session “L’IA4GOOD : a-t-on raison d’y croire ?« , plusieurs experts éminents discutent de l’impact positif de l’intelligence artificielle dans divers domaines tels que la protection sociale, le marketing et les considérations éthiques.
Sophie Yannicopoulos, Directrice Générale d’Adobe France, Rajesh Krishnamurthy, CEO d’Expleo Group, Stéphane Barde, Directeur Data & Digital chez Malakoff Humanis et membre fondateur de Positive AI, Salime Nassur, Fondateur et CEO de MAARS et de Republik Revolution, Yves Nicolas, Deputy CTO de Sopra Steria et responsable du programme IA, ainsi que Francis Wolinski, Directeur du MSc Artificial Intelligence for Business Transformation et Professeur Associé à SKEMA Business School, échangent sur les applications concrètes de l’IA pour le bien.
Ils soulignent l’importance de développer des algorithmes efficaces tout en maintenant une supervision humaine adéquate. De plus, ils abordent l’initiative sur l’authenticité des contenus pour protéger les créateurs et les consommateurs contre la propagation de contenus falsifiés. La transparence, les chartes éthiques et la confiance dans la technologie de l’IA sont également des points clés de la discussion.
Les intervenants soulèvent également des préoccupations concernant la manipulation potentielle des opinions par l’IA et la responsabilité des entreprises technologiques dans l’utilisation éthique de cette technologie. Ils examinent également le rôle des normes de l’Organisation internationale de normalisation (ISO) dans l’établissement d’un cadre réglementaire pour l’IA, ainsi que les différents modèles commerciaux et le coût associé à l’utilisation des outils d’IA.