Si la crise climatique et la crise de la biodiversité sont deux crises majeures qui nécessitent des réponses, leurs intérêts respectifs se télescopent parfois. Les développeurs de centrales solaires au sol en font l’amère expérience, en butte à une approche dogmatique de la protection des espaces naturels, sur laquelle Fabrice Cassin, avocat associé, a été interrogé par Le Journal du Photovoltaïque.
Pour lire l’article, cliquez ici