Stratégie et modèle d’affaires, innovation et créativité, culture d’entreprise et engagement des collaborateurs, pérennité et compétitivité des organisations à l’ère du numérique et des transitions écologiques…voilà quelques-uns des domaines où la RSE peut changer la donne en rabattant les cartes.
Retrouvez l’intégralité du replay de la table ronde « RSE et métamorphose organisationnelle : vers un nouvel horizon d’entreprise » avec :
– André-Guy TUROCHE : Directeur des Affaires sociales et membre du comité de direction de la FÉDÉRATION BANCAIRE FRANÇAISE
– Amélie LUMMAUX : Directrice Générale Adjointe du Groupe ADP
– Séverine LÈBRE BADRÉ : Directrice Engagement ESG, Communication, relations avec les parties prenantes – Membre du Comex de KPMG
– Nicolas ROUTIER : Directeur Général Adjoint Groupe, en charge du service du service public et de la régulation de LA POSTE
– Anne-Laure CALVEZ : Directrice de l’engagement chez ORANO
– Paola FABIANI : Porte-Parole & Vice-Présidente du MEDEF
Dans la session « RSE et métamorphose organisationnelle : vers un nouvel horizon d’entreprise« , les intervenants André-Guy TUROCHE (Directeur des Affaires sociales et membre du comité de direction de la FÉDÉRATION BANCAIRE FRANÇAISE), Amélie LUMMAUX (Directrice Générale Adjointe Développement durable et projets, membre du comité exécutif du Groupe ADP), Séverine LÈBRE BADRÉ (Directrice Engagement ESG, Communication, relations avec les parties prenantes – Membre du Comex de KPMG), Nicolas ROUTIER (Directeur Général Adjoint Groupe, en charge du service public et de la régulation du Groupe LA POSTE), Anne-Laure CALVEZ (Directrice de l’engagement chez ORANO) et Paola FABIANI (Porte-Parole & Vice-Présidente du MEDEF) discutent de l’évolution du rôle de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans la transformation organisationnelle.
Ils soulignent l’intégration de la RSE dans les activités quotidiennes de l’entreprise, l’influence des jeunes sur la prise de décision et la gestion, ainsi que les défis et les obligations liés à la mise en œuvre de la directive sur les rapports d’entreprise sur le développement durable (CSRD).
Les intervenants mettent en avant l’importance de s’engager avec des parties externes, telles que les fournisseurs et les clients, et l’évolution vers des investissements et des initiatives environnementales, sociales et de gouvernance (ESG). Les orateurs expriment le besoin d’un effort collectif, d’une pédagogie et d’une mise en œuvre opportune pour aborder les complexités et l’immensité de la transformation de la CSRD.
Ils mentionnent également le rôle de la finance, en particulier des banques françaises, dans le soutien au financement des entreprises vertes.
Ils discutent de l’importance de s’engager avec des parties externes, en particulier en ce qui concerne la directive sur la responsabilité sociale des entreprises et le devoir de vigilance. Il est mentionné la nécessité de comprendre la complexité de ces questions et la manière dont elles seront évaluées, ainsi que les différents niveaux de maturité des parties prenantes.
Les échanges s’orientent ensuite vers des priorités de leur organisation pour l’année, notamment la finalisation des plans d’adaptation au changement climatique. Ils évaluent également la sensibilité des employés aux causes environnementales au moyen de tests scientifiques, ce qui permet de mettre en place des actions et des transformations concrètes. Les intervenants mentionnent l’utilisation de solutions de marché pour cette évaluation et l’ouverture à la collaboration avec des partenaires technologiques. Ils n’ont pas d’outil spécifique à recommander mais reconnaissent l’importance des outils pour se conformer à la directive sur les rapports de durabilité des entreprises (CSRD). Cependant, ils expriment des difficultés liées au calendrier et à la complexité de la mesure des domaines d’impact tels que la biodiversité et l’impact sociétal.
